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PERFORMANCES & SOIRÉES SIRÈNES

Créer des performances pour des expositions.

Faire dialoguer les oeuvres plastiques, les corps, les sons et les lieux.

Penser l'espace comme un lieu d'histoire(s) et de rêves.

Soirées d'étude,

restitutions de recherches.

Investir des espaces non dédiés au spectacle.

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LES SOIRÉES 

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Ces soirées sont à penser comme des études ou des expositions vivantes et mises en scène.

L’idée est de créer une bulle vivante autour d’un thème, avec des artistes ayant la volonté de s’associer au moins pour un soir, et de participer à une expérience mise en scène, que les arts vivants s’inscrivent ou non directement dans leur domaine.

 

Ces soirées sont pour Sirènes des laboratoires de recherche pour ces différentes pistes de créations (Flûte enchantée, Peuple de la mer et Mystère pour Petits Chaperons rouges).

 

Ces soirées performatives ne sont pas nécessairement dans des espaces dédiés (au contraire !) : Nous cherchons des lieux en intérieur ou en extérieur, des white cube, lavomatics, parcs, des bois, châteaux, péniches, garages… Chaque lieu a sa propre qualité. Si vous avez envie d’accueillir Sirènes, n’hésitez pas à nous contacter.

Photo d'une oeuvre commune de Léa Dumayet et Marguerite Bornhauser lors de leur exposition Plongée (2017).

PERFORMANCE POUR AUTRUI 

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Sirènes peut également lier son travail performatif à une exposition pré-existante ou conçue par d’autres personnes. Sirènes s’attache alors à faire dialoguer, la thématique de l’exposition, l’esthétique des artistes et les données réelles (qu’elles appartiennent au présent au passé ou au futur) du lieu dans lequel elles se déroulent. 

PLONGÉE (2017)

Il y avait l’histoire du lieu, un ancien Pôle Emploi ; l’architecture du lieu, un espace sur plusieurs niveaux ; et le thème de l’exposition de Léa Dumayet et Marguerite Bornhauser, « Plongée ». Sirènes inaugurait sa première performance et sa volonté de parler d’une réalité avec des formes de l’imaginaire collectif, contes ou mythes, tout en s’inspirant  des données d‘un lieu. En haut de cet ancien Pôle Emploi, on retrouvait les personnages d’un système administratif contaminé par une langue opaque. Par la distance du clown ou l’hyperréalisme des témoins, il s’agissait de parler de l’étrangeté de cette langue et de l’impact qu’elle a sur la structure personnelle des individus. À ce monde mécanique de la surface s’opposait, au sous-sol transformé en salle d’exposition, le monde onirique des profondeurs marines. La Petite Sirène appelait à descendre écouter son chant. Tout en bas, descendre, encore, s’enfoncer pour mieux crier.

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